Jeudi 25 mai 2023
Visioconférence
Dans son 6ème rapport, le GIEC établit la responsabilité « sans équivoque » de l’activité humaine dans le réchauffement climatique. Le travail en fait partie, ne serait-ce que par les moyens qu’il utilise, même si cela n’est pas exclusif.
Il s’agit donc de voir comment le travail peut devenir un vecteur de transition écologique et si le droit, à ce titre, peut ou doit être un recours utile, pour orienter, guider, contraindre, voire interdire… de manière à donner force aux engagements des Etats.
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Intervenante de la Tribune
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